ベルクソン哲学における言語の消極性と積極性

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  • La negativité et la positivité du langage chez le Bergsonisme
  • ベルクソン テツガク ニ オケル ゲンゴ ノ ショウキョクセイ ト セッキョクセイ

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Abstract

Bergson n'aborde le problème de langage que fragmentairement. Il reproche au langage en génégal d'empêcher sa méthode philosophique. On sait que, comme la philosophie de la durée et l'intuition, le bergsonisme s'oppose à l'espace et l'analyse auxquelles appartient le langage. Mais le bergsonisme ne se contente pas à rester ce dualisme vulgaire. Le langage y implique des aspects positifs qui s'attachent à l'intuition, bien qu'il comprenne les concepts, les images et la pensée. Nous essayons de distinguer l'aspect positif du langage de son aspect negatif pour saisir leur relation consistante. D'abord, dans la connaissance, l'aspect negatif du langage s'explique par les deux illusions qu'on peut lier respectivement à l'instinct et l'intilligence. L'aspect positif du langage consiste à éviter ces illusions, en exprimant la précision propre de l'intuition. C'est ainsi que la métaphysique augmente sa probabilité. Puis dans l'ontologie l'aspect negatif du langage est plus fomdamental que dans la théorie de la connaissance, dans la mesure où considéré comme l'immobilité par excellence, le langage devient l'obstacle de la liberté et de la création. Mais cela n'est pas decisif, parce que le langage peut fonctionner positivement dans les régions pratiques (par exemple sience, religion et art), où il exprime et élargit de manière diverse notre liberté. En conclusion, le langage obtient la force active et surmonte sa propre negativité à travers ses rapports avec le non-langagier. Dans le bergsonisme, les deux aspects du langage maintiennent cette relation consistante qui se manifeste dans les régions diverses.

Journal

  • 哲学論叢

    哲学論叢 29 27-39, 2002-09-01

    京都大学哲学論叢刊行会

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